Rachelle The Modèle
Pensée Diverses et Avariées...Amour, Amour!Ah! Nos Amours?Où sont ils encore?Je ne t' ai pas abandonné. Je reviendrai un jour. C ' est certain.La vie se passe, nous évolurons dans nos caprices et nous nous endormirons au coin d' un verre de rouge, dans ce qui nous reste d' espoir!Un jour, j' écrirais mes tripes sur fond de blancheur. Quand on vomit, c ' est pour mieux se remplir!Et l' ennui d' ici n' est que dans les rires de mes demains!Et ma révolte? A la frayeur de la perdre elle se fait plus intense! Brisons le bruit des chaînes!Bientôt, j' irai siffler ma libérté pour prétendre à ce que chacun tend à oublier. Soyons libres, soyons grands, nous aussi avons des idées!Pas besoin d' écrire nos quotidiens pour savoir que l' on existe...Amour! Amour! J' en ai! j' en trouve!Non pas à bout de souffle mais à cris de corps!Et dans les liquides mélangés que le temps arrête avant le café, il s' ancre un brin de bonheur entre morsures et terrifiantes ardeurs.Parfois, j' aspire à oublier la justesse des lettres. Les mots s' en chargent, les silences persistes, les gens en conviennent si bien.J' aime le chocolat dans un nuage d' aube après une nuit festive de vapeurs alchimiques. Il est amer dans le passé, il est savoureux aux coins des lévres.Et l' amant, foutre empirique qui s' épend tendrement me nargue de biens faits dans les draps humides.Amour! Amour! Encore! Toujours!Et dans tes yeux cette odeur précieuse fleurant l'insistance de l' instant partagé.Des crèmes qui nous font la peau douce, des humains qui nous la lisse dans l' interdicition de pouvoir penser!Allez y! Messieurs les présients! Que votre lait nourricier assourdisse les aveugles du métro, les sans cravattes sont endormis - que reste il?S'assoupir dans l' indifférence et prononcer émerveillé la rage de ne savoir agir!Quelle est belle ma télé! Si je m' en approche, j' y vois un reflet.Ah? Nos amis, le monde s' éveille. Un jour de décalage, le train est parti, le métro est vide, t ' es encore sur le quai !Rêve, fantasmes et approximations.Le Cac 40 est arrêté. Panne répulsive.Le bus arrive. Rangée, salut, impérialisme et bonjour au chauffeur!Amour! Amour! Heureusement les sourires, la dignité affiché de la monaie de la baguette de pain laissé dans une main avide et appauvrie.Il est ou le rêve de trois mots résumés dans la trinité nouvelle, répression soumission accélération?J'aime aussi les champignons. Ceux des forêts voisines. Ceux qui rendent fous de passions des foules evitant les marchés communs. Le plaisir de retrouver une nature où les exemples martyrs trouvent signification à la rougissante manière de l' homme animal.Qu'il est bon d' être pauvre! Collectivisme individualisé de l' indiffèrence censurielle. Il ne suffit plus de mots. Action! Coupé!Le cinèma anihile la vie. Rangé par vingt dans la salle noire, tu réfléchis à tes actes et on mangera quoi ce soir?Amour? Amour!Passion et retour aux pavés. Non pas d' une révolution, mais d' une libérté! Et la rue s' offre sans horizon aucuns, mis à part une caverne grisonante de béton armé - expressionnisme réel de la génération hors cité.Musique, soupirs, sauvons notre humeur dans les flots de la culture! Allons y ! Accrochons nous aux enceintes et petrissons la terre de nos emotions souvraines. S' endormir la tête ailleurs!Anti déprésseurs et whisky.On rentre chez soit ! On ferme à double tour! C 'est notre seule action de groupe. Mais Titi le petit animal de compagnie bouffant son foie gras à toute notre affection. Bonheur suprême devant un canapé si cher acheté.La puanteur pacifique des sauvages industriels réduit les éspèrences de la sécurité sociale et la trêve de noël rassure les speculations divines des grands si étroits.Chassons les biches de la réforme sociale instaurés aux creux des dîners supérivisés par la pluralité droitière. La gauche, ce mauvais plis effacé dans les entrailles des discusions, arrenge de son exercrable plaie la division séculaire des rois sur pied d' estal.Amour! Amour!Se blottir dans un pull noir, au sens d' un parfum, étendar amoureux d' une négociation procréative. S' évider en tarrisant l' expression même de nos profondeurs.
 
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